Propice à la découverte des pépites de la rentrée littéraire, l’été est aussi le moment de les savourer littéralement en terrasse, au milieu des fleurs et des tartines. Autant joindre l’utile à l’agréable.
Il semblerait que, cette année, mes pérégrinations au sein des titres attendus fin août me guident vers de tristes lectures.
- Constellation d’Adrien Bosc évoque le crash de l’avion du même nom qui transportait, en octobre 1949, Marcel Cerdan et d’illustres inconnus vers les Etats-Unis.
- Le dernier Grégoire Delacourt, On ne voyait que le bonheur, raconte par la bouche du père une incompréhensible tragédie familiale.
- Le formidable Portrait d’après blessure, d’Hélène Gestern, montre comment deux victimes irrémédiablement liées par un attentat, tentent de se reconstruire après l’affront des médias.
Entre parfums de scandale et parfums de chefs d’oeuvre, un avant-goût des titres chroniqués dans les semaines à venir !
Et, sans spoil aucun, quelques citations en exergue de ces (sacrément belles) nouveautés.
in On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt
in Une Vie à soi, Laurence Tardieu.
in Constellation, Adrien Bosc.